Dès que je porte mon attention sur ma respiration, mon souffle se modifie. Pourquoi ? Parce qu’il est particulièrement relié au mental. Cette relation donne tous les espoirs !
Si l’on part du principe très simple que ces deux mouvements – inspirer, expirer – forment le rythme de toute notre existence, qu’ils nous portent, ou nous bloquent ou, dans tous les cas, nous révèlent à nous même, on comprends mieux l’importance qu’on lui accorde.
Si l’air porte notre mental, par le mental on peut donc changer toute notre vie, si on le désire. D’une manière consciente, je peux introduire dans l’inspire un intention de joie, ou d’amour, ou de paix, et dans l’expire je répands dans mon aura cette vibration qui chasse les pensées négatives.
C’est une méthode qui a fait ses preuves, et que Louise L. Hay explique très bien dans ses livres.
Dans l’exercice de Qi-Gong qui fait partie des huit pièces de brocard, « viser l’aigle » on peut tout à fait intégrer une intention dans le moment où l’on vise son objectif, à l’inspire, et se l’accorder, quand on expire et que la flèche part.