Dans les correspondances des organes avec pour chacun une planète, un animal, un élément, une direction, une saison, celles des poumons sont, dans l’ordre : Vénus, le tigre ou l’aigle, le métal ou l’air, l’ouest, et l’automne.
On appelle aussi Vénus « l’étoile du berger ». Lumière dans l’obscurité, la première à se montrer dans la nuit tombée, elle symbolise la mort et la rennaissance. C’est un emissaire du soleil, un « intermédiaire entre les hommes et les dieux ». C’est la planète par excellence du sentimental, de l’attraction entre deux êtres, du rêve amoureux, et du plaisir des sens.
Dans la relation de Vénus avec la saison de l’automne, il y a cette notion de fin, de terme, de mort qui induit la tristesse de sentir partir ce que l’on connait, sans vraiment ressentir pour beaucoup, la promesse de ce que contient tout ce qui se termine. Il faut se préparer à l’intériorisation de l’hiver, au froid, au ciel gris et seul le regard porté sur la flamme réchauffante de la cheminée, ou de la lumière de vénus dans le ciel étoilé saura nous indiquer que quelque chose continue, qu’une autre phase s’apprête à sortir de l’ombre, et que le renouveau viendra fleurir d’autres printemps ! Pour notre plus grand plaisir
Le bien-être, la sérénité, s’obtiennent dans la certitude d’une transformation permanente et l’accueil bienveillant de l’expérience de chaque instant inscrit dans l’éternité. La beauté de Vénus se révèle alors !